Il existe des divergences d’opinions quant au sacrifice de la ‘Aqiqa en cas de naissance d’un enfant mort-né. Certains savants considèrent que si l’âme a été insufflée dans le fœtus, il est considéré comme un être humain et un sacrifice doit être effectué. D’autres considèrent qu’il n’y a pas de sacrifice à effectuer dans ce cas.
Dans le cas d’un fœtus qui meurt avant l’insufflation de l’âme, il n’y a pas de sacrifice, car il n’est pas considéré comme un être humain.
Il existe également deux opinions quant au sacrifice dans le cas où l’enfant naît mort-né après l’insufflation de l’âme.
Quant à l’enfant qui naît et meurt avant le 7ème jour, là aussi, il existe deux opinions, mais l’avis recommandant un sacrifice est plus fort.
Enfin, si l’enfant survive jusqu’au 7ème jour, un sacrifice doit être effectué.
En conclusion, ce thème est controversé parmi les savants. Il est donc conseillé de consulter les experts religieux de votre ville ou mosquée pour obtenir une réponse définitive.
Que Dieu aide et console les familles qui ont perdu un enfant, qu’Il nous permette de surmonter les épreuves de la vie avec patience. Qu’Il nous pardonne nos erreurs et nous inclue parmi les bienfaiteurs.
Dans le cas d’un fœtus qui meurt avant l’insufflation de l’âme, il n’y a pas de sacrifice, car il n’est pas considéré comme un être humain.
Il existe également deux opinions quant au sacrifice dans le cas où l’enfant naît mort-né après l’insufflation de l’âme.
Quant à l’enfant qui naît et meurt avant le 7ème jour, là aussi, il existe deux opinions, mais l’avis recommandant un sacrifice est plus fort.
Enfin, si l’enfant survive jusqu’au 7ème jour, un sacrifice doit être effectué.
En conclusion, ce thème est controversé parmi les savants. Il est donc conseillé de consulter les experts religieux de votre ville ou mosquée pour obtenir une réponse définitive.
Que Dieu aide et console les familles qui ont perdu un enfant, qu’Il nous permette de surmonter les épreuves de la vie avec patience. Qu’Il nous pardonne nos erreurs et nous inclue parmi les bienfaiteurs.