Selon
la sunna, il est recommandé de sacrifier deux moutons pour un garçon et un seul pour une fille. Il est de
meilleure qualité si les deux moutons sont les plus proches possible en termes d’âge, de taille et de poids. Si
seulement un mouton peut être trouvé pour un garçon, cela suffit, mais s’il est possible d’en avoir deux, cela est
préférable.
Pourquoi est-il préférable de sacrifier plus pour un garçon ?
En ce qui concerne la raison pour laquelle deux moutons sont égorgés pour un garçon et un seul pour une fille, certains savants ont suggéré que cela peut représenter la supériorité de l’homme sur la femme. Cependant, cette pratique est une législation divine édictée par Allah et il ne convient pas de poser des questions sur ses décisions. Il est à noter que même si la sunna recommande deux moutons pour un garçon, égorger un seul mouton pour son Aqiqa est également acceptable, car le Prophète (paix et bénédictions sur lui) n’a égorgé qu’un seul mouton pour les Aqiqas d’Al-Hasan et Al-Hussein.
Y a-t-il une différence entre les hommes et les femmes en Islam ?
D’après la Sagesse et la Justice divine, Allah n’a pas établi de différence entre les hommes et les femmes en ce qui
concerne les devoirs et les droits, ni en ce qui concerne les récompenses et les punitions.
Toutefois, l’Islam a fait une distinction entre les hommes et les femmes pour certains verdicts en raison des différences physiologiques et psychologiques entre les deux sexes.
Comme les hommes ont une constitution physique plus robuste et un caractère plus fort, ils sont considérés plus adaptés pour le travail ardu, la réalisation de gains financiers et les efforts nécessaires pour le bien-être de la famille. Par conséquent, il leur est confié l’autorité sur leur famille et leur maison en tant qu’obligation et non en tant qu’honneur.
À l’inverse, les femmes ont une nature plus douce et affective, elles sont donc plus adaptées à la responsabilité de l’éducation des enfants et à la prise en charge des tâches domestiques, une tâche importante.
Ce principe s’applique à tout verdict distinguant les hommes des femmes : l’Islam tient compte des spécificités et des particularités naturelles de chaque sexe.
La pratique de la Aqiqa pour ceux qui ont les moyens financiers est considérée comme une sunna pour les deux garçons et les filles, selon la majorité des savants religieux, ainsi que des compagnons du Prophète, des tabi’i et des générations pieuses qui ont suivi. Ce rite est célébré après la naissance d’un bébé musulman et il a été pratiqué par le noble Prophète (paix et salut sur lui). Cependant, la question se pose de savoir si la Aqiqa est similaire pour les deux sexes.
Toutefois, l’Islam a fait une distinction entre les hommes et les femmes pour certains verdicts en raison des différences physiologiques et psychologiques entre les deux sexes.
Comme les hommes ont une constitution physique plus robuste et un caractère plus fort, ils sont considérés plus adaptés pour le travail ardu, la réalisation de gains financiers et les efforts nécessaires pour le bien-être de la famille. Par conséquent, il leur est confié l’autorité sur leur famille et leur maison en tant qu’obligation et non en tant qu’honneur.
À l’inverse, les femmes ont une nature plus douce et affective, elles sont donc plus adaptées à la responsabilité de l’éducation des enfants et à la prise en charge des tâches domestiques, une tâche importante.
Ce principe s’applique à tout verdict distinguant les hommes des femmes : l’Islam tient compte des spécificités et des particularités naturelles de chaque sexe.
La pratique de la Aqiqa pour ceux qui ont les moyens financiers est considérée comme une sunna pour les deux garçons et les filles, selon la majorité des savants religieux, ainsi que des compagnons du Prophète, des tabi’i et des générations pieuses qui ont suivi. Ce rite est célébré après la naissance d’un bébé musulman et il a été pratiqué par le noble Prophète (paix et salut sur lui). Cependant, la question se pose de savoir si la Aqiqa est similaire pour les deux sexes.