La Aqiqa est un acte très important dans l’Islam. Il s’agit de sacrifier un animal (mouton, chèvre ou agneau) au nom du nouveau-né le 7ème jour après sa naissance afin d’obtenir des bénédictions et de marquer son entrée dans le monde. Choisir correctement son animal pour la Aqiqa est une décision très importante et il y a plusieurs facteurs à prendre en considération.
Les critères pour choisir son animal pour la Aqiqa
Choisir un animal pour la Aqiqa est un moment spécial qui devra être pris très au sérieux. Il existe différents critères à prendre en compte pour sélectionner la meilleure bête possible.
Le nombre
Selon l’enseignement islamique, il y a des différences entre fille et garçon et il est recommandé d’effectuer la Aqiqa avec un seul animal pour une fille et deux pour un garçon :soit un mouton, une chèvre ou un agneau. La taille de l’animal variera en fonction de la taille de la famille et de son budget. La majorité des gens préfère offrir un mouton car c’est l’animal religieusement le plus approprié.
Cependant, Le Prophète ﷺ a déclaré que le meilleur sacrifice est celui qui coûte cher et est très gras, selon ce qui est rapporté par Ahmad.
Cependant, Le Prophète ﷺ a déclaré que le meilleur sacrifice est celui qui coûte cher et est très gras, selon ce qui est rapporté par Ahmad.
L'âge
Lors du choix d’un animal pour la Aqiqa, l’âge est très important. Selon l’enseignement islamique, l’animal doit être âgé d’au moins 2 ans.
La santé et l'aspect physique
Il est également important que l’animal soit en bonne santé et ait l’air beau et fort. L’animal devrait exister sans maladies visibles et ne pas avoir de blessures apparentes. Il doit être propre et entretenu et avoir un poids normal.
Abd Ad Salam Ibn Abd Allah As Soulaymân affirme que ce n’est pas permis de choisir un animal qui claudique, qui a une jambe brisée, qui est malade ou qui a un œil percé, ni de vendre sa viande ou sa fourrure. Il est de votre devoir de manger une partie de l’animal, de donner une partie en aumône et d’offrir une troisième partie à des personnes de votre choix.
Lors du sacrifice, si vous souhaitez en savoir plus sur que dire avant d’égorger le mouton, lisez cet article.
Abd Ad Salam Ibn Abd Allah As Soulaymân affirme que ce n’est pas permis de choisir un animal qui claudique, qui a une jambe brisée, qui est malade ou qui a un œil percé, ni de vendre sa viande ou sa fourrure. Il est de votre devoir de manger une partie de l’animal, de donner une partie en aumône et d’offrir une troisième partie à des personnes de votre choix.
Lors du sacrifice, si vous souhaitez en savoir plus sur que dire avant d’égorger le mouton, lisez cet article.